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PDCI: Le Sénateur du Gbôklè, JB Pany, offre 2 de ses livres sur les principales cultures de rente à Bédié

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En fin de semaine (Vendredi 22 juillet, après-midi) le sénateur Jean-Baptiste Pany s’est associé à la visite du groupe parlementaire PDCI RDA au Sénat, dont il est membre, au Président Henri KONAN BEDIE.

Cette visite, selon le sénateur de Gbôklè, s’inscrivait dans le cadre habituel des visites du groupe parlementaire au Président Bédié pour lui faire le point des travaux du groupe parlementaire au Sénat et obtenir ses avis et instructions sur les travaux à venir, sur les propositions de loi envisagées par le groupe ainsi que sur les sujets d’actualité.

Sur ce dernier point, le Président Bédié, sollicité par le groupe pour ses observations a conseillé la prudence. Sur certains sujets d’actualité, il a demandé de laisser le Gouvernement s’en occuper.

Ainsi donc, en marge de cette rencontre, le sénateur élu en indépendant et qui a rejoint le groupe parlementaire PDCI-RDA, a profité pour offrir ses deux derniers livres au Président Henri Konan Bédié. Le livre relatif au cacao et celui relatif à la noix de cajou.

Les deux livres sont respectivement intitulés :

– « Le cacao profite-il encore à la Côte d’Ivoire ? »

– « La noix de cajou en Côte d’Ivoire, un succès en trompe-l’œil »

Ces deux livres (2019 et 2020) écrits pour informer le grand public sur les activités du cacao et de la noix de cajou en Côte d’Ivoire, de loin le premier producteur et fournisseur mondial aussi bien du cacao (40 à 45%) que de la noix de cajou (25%).

Lesdits livres visent l’opinion publique aussi bien nationale qu’internationale, ainsi qu’à interpeller les autorités locales qui ont en charge la gestion de ces deux filières agricoles qui constituent l’épine dorsale de l’économie ivoirienne.

«De même, dans la mesure où les résultats des activités de ces deux filières irriguent toutes les activités économiques en Côte d’Ivoire sans exception, et irradient toutes les problématiques sociales du pays, le Gouvernement est aussi interpellé par mes analyses et mes propositions visant à changer de paradigme en vue d’une approche durable et plus vertueuse de la gestion de ces deux filières. La survie actuellement préoccupante des deux filières en dépend», nous a confié Jean-Baptiste Pany.

Il n’a pas manqué de relever cet fait très important : «Le plus important acte proposé dans les livres, c’est de faire en sorte que le paysan ne demeure pas l’éternel petit fournisseur de matière première bon marché, tant à l’industrie habituelle internationale qu’à l’industrie locale naissante.»

Le Président Bédié lui a témoigné sa satisfaction. Mais il n’a pas fait de commentaire particulier.

Gilles Richard OMAEL


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