Municipales à Toulépleu : Denis Kah Zion obtient le soutien des femmes et interpelle la CEI sur la distribution des cartes d’électeurs

Au marché de Toulepleu, le maire Kah Zion a communié avec les commerçants et commerçantes qui l’ont accueilli avec des vivats. Dans un bref message à ces hommes et femmes, il a dit entre autres: « Je suis venu vous saluer et vous dire que de la façon que j’ai toujours été avec vous, à vos côtés, de cette même façon je suis et je serai toujours votre avocat… passé ce temps de campagne, nous allons faire le travail et poursuivre la réalisation des projets que nous nourrissons pour vous. Entre autres:

Agrandir le marché pour que tous les commerçants soient à l’aise;  Relever les bâtiments aux alentours en R+5 afin que d’autres commerçants s’installent en haut pendant que certains sont en bas; Créer de petits marchés dans les grands quartiers pour désengorger le grand…. ceux qui viennent vous dire qu’ils vont moderniser le marcher plaisantent, ils voudront vous vendre les places à des prix exorbitants, là où nous vous offrons les tables et toutes les commodités, sans rien vous exiger… ». A-t-il dit  dans un tonnerre  d’applaudissements de joie.

La présidente des commerçantes du marché a exprimé le soutien des femmes à Kah Zion: « Nous savons que quand vous dites, vous le faites. Nous savons ce qui est fait au quotidien pour le marché. Nous sommes fières de vous faire confiance, aujourd’hui et demain. Nous sommes avec vous, nous sommes à vos côtés… »

Kah Zion interpelle la CEI

A chacune de ses rencontres avec la populations, à chacun de ses meetings, le maire Dénis Kah Zion, candidat de la coalition PDCI/PPACI ne se lasse pas de demander aux uns et aux autres de cultiver la paix, de tout mettre en œuvre pour que cette élection se fasse dans la paix et dans la convivialité. « Nous voulons une élection des plus pacifiques,  pour cela, notre souhait est que la CEI revoit sa copie. Parce que la décision selon laquelle les parents doivent se rentre dans les CEI locales pour retirer leurs cartes d’électeur n’arrange guère les populations. Alors qu’elles ont été enrôlées dans leurs villages et quartier, pourquoi ne pas leur distribuer les cartes là où elles ont été enrôlées? C’est d’autant plus compliquée pour les parents que certains sont à des dizaines de kilomètres des CEI locales. Et même le jour des élections, si la CEI dit pouvoir convoyer les cartes d’électeurs qui n’ont pas été retirés sur les lieux de vote, qu’est-ce qui garantit que toutes les cartes seront disponibles sur les lieux de vote? Ce jour, un enrôlé qui ne voit pas sa carte ne votera pas. A qui cela profite? », interpelle-t-il la CEI.

GRO avec Sercom DKZ

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