Yopougon-Gesco/Bredoumy Soumaïla (PP PDCI): «Les auteurs paieront pour leur forfait…»
Bredoumy Kouassi Soumaïla, porte-parole du PDCI-RDA, était face à la presse ce mercredi 28 février, à l’Auditorium du siège du parti le plus ancien de Côte d’Ivoire à Cocody. Au cours de cette conférence de presse, le Coordonnateur général de la Grande Cellule de coordination de la Communication (GCCC) du PDCI s’est prononcé sur plusieurs sujets dont le déguerpissement à Yopougon-Gesco avec la démolition de l’école CHA HELENE qui a vu 1880 élèves mis à la rue. «Les auteurs paieront pour leur forfait…» A-t-l affirmé. Propos liminaires.
Mesdames et messieurs les membres des instances du Parti,
Chers militants et militantes du PDCI-RDA ;
Chers amis de la presse nationale et internationale,
Chers invités
Je voudrais vous remercier pour votre présence renouvelée pour notre rencontre de ce jour.
Nous allons aborder les points suivants :
- Les principales activités depuis l’élection du Président de notre parti le 22 décembre 2023 ;
- L’analyse et la position du PDCI-RDA sur les faits saillants de l’actualité nationale
- Si nécessaire nous pourrons aborder l’actualité internationale qui impacte la vie des Ivoiriens
Mesdames et messieurs,
Cela fait un peu plus de deux mois qu’à l’issue du Congrès Extraordinaire électif du 22 décembre 2023 tenu à Yamoussoukro, le Président Tidjane Thiam a été plébiscité pour diriger le PDCI-RDA.
Depuis son élection à la présidence du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire, PDCI-RDA, le 22 décembre dernier, Le Président Tidjane THIAM a insufflé un vent nouveau au sein de notre formation politique historique.
Avant son élection et pendant qu’il n’était que candidat, le Président T. Thiam s’est impliqué personnellement dans la résolution de l’imbroglio politico-judiciaire qui pesait sur le PDCI-RDA. Cela a constitué un accomplissement majeur du PDCI-RDA, conduisant ainsi à l’organisation du Congrès.
L’organisation avec succès de notre Congrès nous a permis de respecter la clause d’intérim limitée à 6 mois après le décès du président en exercice. Nous avons ainsi déjoué tous les complots souterrains contre notre parti.
Dès sa prise de fonction le jeudi 24 janvier 2024, le Président TIDJANE THIAM a adopté une méthode de gestion basée sur une large consultation des acteurs principaux au sein du PDC-RDA.
L’objectif est d’aboutir à un apaisement des tensions internes et des querelles qui auraient dû surgir entre factions opposées au sein du parti. La gestion sereine de ces conflits internes a favorisé un climat de cohésion et de travail constructif au sein du PDCI-RDA.
La dernière rencontre qu’il a eue avec les « indisciplinés » le 20 février 2024 en est une parfaite illustration.
Caravane d’adhésion
Le lancement réussi de la caravane d’adhésion a marqué le début d’une nouvelle ère pour le parti. L’engouement généralisé observé autour de cette initiative atteste de l’attractivité du PDCI RDA due à l’image du Président Thiam et de l’espoir que suscite son élection à la tête du PDCI RDA.
Il faut rappeler que le Président Thiam fait des obsèques du président Bédié une de ses priorités. Il vient de mettre sur place une organisation pour piloter le volet politique de ces obsèques.
En effet, le lundi 19 février 2024, les structures suivantes ont été créés :
– Un Comité de Coordination;
– Un Comité de Supervision ;
– Un Comité d’Organisation Pratique ;
– Quinze comités en charge de la coordination et de la mobilisation territoriale, un pour chacun des 14 districts de Côte d’Ivoire et un pour l’étranger.
Le Comité de Coordination des obsèques sera présidé par Monsieur Tidjane THIAM, avec le Pr COWPPLI-Bony comme Conseiller Spécial.
Le Ministre NIAMIEN N’goran a été nommé Superviseur Général des obsèques et l’Ambassadeur KACOU Gervais Président du Comité d’Organisation Pratique.
La composition des membres de ces différentes structures est en cours de finalisation, suite à la nécessité d’intégrer d’autres ressources humaines non encore présentes sur la première liste.
Les prochaines grandes décisions vont s’articuler autour des retouches nécessaires au niveau des organes dirigeants de notre parti.
Parmi les défis à relever pour les mois à venir figurent en bonne place l’élargissement et la consolidation de nos relations avec les partenaires politiques au niveau national.
A cet effet, le Président THIAM a rencontré le Président Laurent Gbagbo, président du PPA-CI le 24 février 2024 à Mama. Les conversations se sont déroulées dans une ambiance fraternelle.
Les deux présidents ont abordé les questions relatives à l’organisation des obsèques du Président Bédié. Le Président Gbagbo a assuré le Président du PDCI RDA de sa présence effective au cours des obsèques de son aîné.
Le président THIAM a aussi participé à des rencontres avec les représentants de plusieurs chancelleries dans notre pays, des chefs de mission des pays de l’Union Européenne, ainsi qu’avec les représentants de certaines organisations spécialisées des Nations Unies.
Le président du parti a entamé une série de rencontres avec certaines personnalités du PDCI-RDA. Il a par ailleurs initié des rencontres avec le personnel politique des grandes zones, selon le découpage du PDCI-RDA.
Avec le personnel politique de la zone ZADI. Ainsi le président THIAM eu une séance de travail assez fructueuse avec les cadres du parti de ladite zone conduits par le Pr Djédjé Mady.
La révision de la liste électorale demeure une priorité pour le PDCI-RDA à la lumière des enjeux à venir. Le Président THIAM relève partout la situation aberrante de la liste électorale de notre pays, qui ne comporte qu’environ 8 millions d’électeurs sur une population qui atteint quasiment 30 millions d’habitants.
Dans certains pays en Afrique et dans le monde, le pourcentage d’inscrits est nettement supérieur. Selon lesorganisations internationales expérimentées en la matière, il faut un taux d’inscription au moins égale à 40% pour donner une légitimité aux élections. Notre pays est loin de satisfaire à cette exigence.
Au cours de la rencontre la délégation des cadres PDCI-RDA de la zone ZADI, le Président THIAM a relevé une des faiblesses de notre démocratie qui n’était pas alignée sur les standards internationaux, chiffres à l’appui.
Selon le président THIAM, sur les 30 millions d’habitants en Côte d’Ivoire seuls 8 millions soit environ 29% sont inscrits sur la liste électorale. Le Ghana voisin qui a 32 millions d’habitants, 17 millions d’électeurs figurent sur sa liste électorale soit 53%. Au Sénégal, poursuit le président, c’est 7 millions d’inscrits pour 17 millions d’habitants. Cette situation de sous représentativité des potentiels électeurs sur la liste électorale, rend peu crédible les élections dans notre pays et par conséquent conduit à une illégitimité des dirigeants qui en découlent.
Il faut donc résoudre cette problématique qui n’est pourtant pas insurmontable. Tant que ce problème n’aura pas été surmonté, les résultats des élections auront un problème de crédibilité. On peut mieux expliciter la question en prenant un cas pratique : En partant de 8 millions et 50 % de taux de participation on obtient 4 millions d’électeurs effectifs. La majorité est donc 2 millions. Ça veut dire qu’avec 2 millions, on peut diriger un pays de 30 millions d’habitants. Ce n’est pas démocratique a conclu le Président THIAM.
Se référant aux normes internationales, la liste électorale de la Côte d’Ivoire devrait comporter moins 12 millions d’électeurs C’est cette déclaration qui soulève la peur chez ceux qui craignent l’expression de la majorité et qui veulent perpétuer avec la dictature de la minorité.Pour le triomphe de la vraie démocratie nous devons ensemble persévérer pour aboutir à ce résultat
Toujours dans le cas de la Côte d’Ivoire, en excluant 6 millions comme représentant la population étrangère, on arrive à 33% de la population ivoirienne inscrits sur la liste.
Ce taux de 33% place la Cote d’Ivoire au bas de la liste des pays comparables. Le Président du PDCI RDA s’intéressait a 2025, essayant de déterminer pour ses militants quelle serait un objectif de taille de fichier électoral a l’horizon 2025. Le taux de croissance annuel de la population en Côte d’Ivoire est de l’ordre de 2.9% et la population ivoirienne devrait passer de 24 millions en 2021 a 26.9 millions en 2025.
En dehors du Ghana on observe un taux d’inscription de 49% au Benin, de 44% au Togo, de 37% au Liberia.
L’objectif chiffré du Président du PDCI-RDA sera profitable à tous, y compris au RHDP.
Mesdames et messieurs,
En ce qui concerne l’actualité nationale, c’est avec plaisir et fierté que nous revenons sur le succès des éléphants footballeurs lors de la 34ème édition de la CAN organisée en Côte d’Ivoire. Notre équipe a offert des occasions de grandes émotions au peuple de Côte d’Ivoire, lui permettant d’oublier, un tant soit peu, les souffrances interminables qu’il endure depuis un certain moment.
La CAN finie nous sommes revenus implacablement aux réalités de la vie quotidienne.
Nous relevons cependant que lors de la célébration de la victoire de nos footballeurs, il n’a nullement été mentionné le nom du Président Félix Houphouët-Boigny dans les allocutions prononcées par le président de la FIF au palais de la présidence et à l’Assemblée nationale, quand il a fait allusion aux précédents trophées.
Par ailleurs, le président de la FIF a fait trois propositions concernant l’avenir du football dont son souhait de la création d’un fonds pour le football et une structure pour gérer les infrastructures réalisées pour l’organisation de la CAN.
En poussant plus loin ces deux propositions, nous pensons qu’un fonds pour financer le sport et la formation pour l’émergence des jeunes sportifs qui porteront le drapeau de notre pays, ne devrait pas se limiter au football.
Par ailleurs, la création d’une structure pour gérer les infrastructures ne fera que créer une inflation d’organes budgétivores, alors que l’ONS existe et est déjà doté de budget pour l’entretien des infrastructures construites. On peut rappeler que dans le Budget 2024, des lignes budgétaires sont ouvertes pour chacune d’elles.
Mesdames et messieurs
La cherté de la vie ne fait que s’empirer. Les dernières factures de l’électricité nous ont donné raison quand nous avions annoncé une augmentation programmée du coût de l’énergie au hauteur d’au moins 20%. Cela est effectif. Nous sommes convaincus de ce que nous avons déjà annoncé pour le secteur sucrier.
Les derniers évènements liés aux déguerpissements des populations, notamment celui Yopougon à GESCO ne font que mettre à nu l’échec de la politique de logement du Gouvernement du RDR. En effet le RDR a promis mettre à la disposition des Ivoiriens des logements sociaux de 5 millions de FCFA, Ces habitats deviendraient à terme leur propriété. Le Programme Présidentiel de Logements Sociaux et Economiques initié en 2011 n’a donné aucun résultat palpable.
L’objectif de 150.000 logements projetés par le programme sur la période 2021-2025 pour un besoin en financement de 1700 milliards de FCFA n’a non plus pas d’effet concret. Pire pour soit disant financer ce programme le Gouvernement
La question du logement, et particulièrement l’accès aux logements sociaux par les populations les plus défavorisées, est une préoccupation à laquelle le Gouvernement ivoirien peine à trouver une réponse efficace et pérenne.
En effet, depuis 2013, dans le cadre du Programme Présidentiel de Logements Sociaux et Economiques, un projet de construction de 60 000 logements sociaux par an pour un coût de 600 milliards de francs CFA a été lancé.
Au démarrage du projet sur soixante-douze chantiers, plusieurs promoteurs immobiliers ont été retenus et des souscriptions ont été ouvertes aux populations à hauteur de 30 000 francs CFA, Une maison de trois pièces devrait coûter entre 5 millions et 10 millions de francs CFA. Le Programme a suscité un engouement certain avec plus de 75 000 demandes enregistrées au cours des opérations de pré-souscription organisées entre mars 2013 et octobre 2014.
Les demandes enregistrées dépassant les 60 000 logements prévus dans le projet initial de 2012-2015, le Gouvernement a revu à la hausse le nombre d’unités à produire qui est alors passé à 150 000 logements pour la période 2012-2020.
Mais près d’une décennie depuis le lancement de ce programme présidentiel, les résultats obtenus sont largement en deçà des attentes alors que la densification de la population dans les zones urbaines et particulièrement à Abidjan, s’accentue de manière exponentielle. En 2020, seulement 12 000 logements ont été construits sur les 150 000 annoncés, soit un taux de réalisation de moins de 10 %.
Il y a donc lieu de s’interroger sur l’efficacité et la cohérence de la politique mise en œuvre par le Gouvernement en matière de logement social.
C’est ici le lieu de rappeler que la politique du Gouvernement au travers du Programme Présidentiel de Logements Sociaux et Economiques est de faciliter la construction de logements sociaux par la prise de mesures d’incitation en faveur des opérateurs du secteur privé qui veulent investir dans l’immobilier destiné aux revenus modestes.
Ce qui était considéré comme un programme de logements sociaux, est devenu en définitive une opération hors de portée des populations à faible revenu.
En effet, les prix maximums fixés pour le logement social à 5 millions de FCFA et pour le logement économique à 8 millions de FCFA ont été revus à la hausse en 2013, lors du démarrage officiel du Programme, pour se situer entre 5 millions et 10 millions de FCFA pour le logement social et entre 10 millions et 15 millions de FCFA pour le logement économique, pour être plafonnés plus tard en 2017, respectivement à 12,5 millions et 23 millions de FCFA. Cela remet en cause le caractère social du Programme Présidentiel de Logements Sociaux. En résumé, les offres, se sont avérées finalement hors de portée de la cible initiale.
En outre, la cession du foncier aux promoteurs immobiliers par l’Etat ne s’est pas toujours réalisée sans contestation des propriétaires terriens provoquant souvent des heurts avec les promoteurs immobiliers, ceci ayant pour effet de freiner ou d’empêcher la réalisation de certaines opérations
C’est le lieu de rappeler à la jeune génération l’expérience réussie des programmes de logements sociaux mis en œuvre dans les années 1970 par l’Etat au travers notamment de la Société Ivoirienne de Construction et de Gestion Immobilière (SICOGI) et de la Société Ivoirienne de Gestion et de Financement de l’Habitat (SOGEFIHA). Les opérations immobilières de ces sociétés d’Etat étaient soutenues par un organe public de production des aménagements fonciers, la Société d’Equipement des Terrains Urbains (SETU), et par des instruments de financement, le Fonds de Soutien à l’Habitat (FSH), l’Office pour le Soutien de l’Habitat Economique (OSHE), et la Banque Nationale pour l’Epargne et le Crédit (BNEC).
Principal fournisseur de logements économiques, sociaux et de moyen standing aux populations ivoiriennes sur toute l’étendue du territoire national, la SICOGI a réalisé plus de 50 000 logements qui ont été construits, pour son compte ou pour le compte de tiers, à des conditions particulièrement attractives (location-vente notamment) et adaptées au budget de chaque souscripteur. La SICOGI a construit à elle seule des quartiers entiers dans la ville d’Abidjan comme Treichville-Arras
A & B (556 logements), Adjamé, (220 logements), Yopougon 1, (2 124 logements), Yopougon Niangon 1, 2, 3 (3 354 logements), CocodyDjibi (1 191 logements) ; Abobo, Concorde (2 500 logements), Yopougon, Azito 1 (235 logements). Les œuvres remarquables de la SICOGI sont toujours visibles dans la ville d’Abidjan : Tours Sainte Marie Riviera Golf, Jardins de la Riviera 2, Latrille, Aghien, Marcory Champroux, Niangon etc. A l’intérieur du pays, ce sont entre autres : Daloa, Cité SICOGI – BHCI (2 190 logements), Kong, Cité des Cadres (155 logements), Bouaké, Ahouniansou II (200 logements), Séguéla – Cité des Hôtes (10 logements), San-Pedro – Jules Ferry.
La SOGEFIHA a contribué largement à la construction de plusieurs logements sociaux à Abidjan dans tous les quartiers y compris Cocody
A cette époque, la politique économique suivie par le Gouvernement était celle du libéralisme, mais un libéralisme à ‘’visage humain’’ caractérisé par une politique sociale hardie en faveur des couches les plus défavorisées.
En 1997 le Gouvernement du Président Bédié déplacé les habitants de Washington, quartier lycée technique à Biabou avant de raser les habitations précaires. L’opération a duré du 10 septembre au 10 octobre 1997 et permis de reloger 850 familles dont 498 familles ivoiriennes.
Ce qui s’est passé à Yopougon GESCO est tout simplement synonyme de méchanceté. Le drame c’est que ce système n’a ni cœur pour les habitants de ce pays ni intérêt pour l’avenir de nos enfants. Voilà qu’un établissement d’éducation qui abrite 1880 apprenants dont 962 affectés par l’Etat est rasé en plein mois de février ! Comme Dieu existe les auteurs paieront pour leur forfait tôt ou tard.
Le district d’Abidjan a tout simplement agi par abus de pouvoir. Toutes les déclarations faites par les responsables du district apparaissent comme de contrevérités. Il faut donc arrêter ce piétinement du peuple de Côte d’Ivoire. Pendant que nous aménageons des abris pour accueillir des réfugiés dans notre pays, nos concitoyens sont jetés comme des déchets à la rue.
Le Président du PDCI-RDA s’est rendu sur les lieux le jeudi 22 février 2024 pour apporter sa compassion aux populations désemparées et sans défense. Le Président THIAM et sa délégation n’ont pas eu une mission facile face à l’émission de gaz lacrymogène sur les lieux pendant leur visite.
L’actualité nationale c’est aussi la misère des paysans avec un prix insignifiant que leur offre le Gouvernement pour l’achat de la noix de cajou.
Il s’inquiéter de la destruction des fondements de notre économie agricole par le pouvoir actuel. Après l’ananas et le sucre, notre production de noix de coco est dans la tourmente.
Une fois n’est pas coutume, la situation de notre production de cacao est frappée par un casting assez inquiétant. Pendant que le prix de la tonne de cacao atteint un record jamais connu depuis plus de cinquante ans, nos paysans font toujours face à un prix d’achat qui couvre à peine leur cout de production.
Les productions vivrières vont connaitre encore d’énormes difficultés. Le programme en cours de distribution d’intrants par le ministère en charge de l’agriculture se fait en dehors de toutes les règles agronomiques. Quand on observe tout cela, on se dit que ce n’est pas demain la veille de la fin de nos difficultés dans le secteur.
Nous avons suivi il y a peu une avis d’interdiction d’exportation de certains de nos produits vivriers pour six mois.Le coup est tellement grossier et illogiqueque certainement quelqu’un au niveau supérieur de la hiérarchie a dû taper du poing sur la table et les mêmes ministres qui ont signé la note d’interdiction ont vite fait, un mois après, de rapporter le décision d’interdiction.
Mesdames et messieurs,
Notre pays naguère connu comme très rigoureux et sérieux, présente l’image de comédiens sur scène,
Il est temps que le changement arrive. Nous appelons donc les Ivoiriens à rejoindre le train nouveau du PDCI-RDA piloté par le président THIAM pour retrouver la vie, le travail, l’équité la prospérité et le bonheur.
Vive le PDCI-RDA, le seul parti fondé par Félix Houphouët Boigny,
Vivement 2025 pour le retour du PDCI-RDA au pouvoir d’Etat
Je vous remercie
LES GRANDS TRAVAUX CONÇUS PAR THIAM
- AUTOROUTE ABIDJAN-YAMOUSSOUKRO ET VOIE EXPRESS ABIDJAN-GRAND-BASSAM
- TRAIN URBAIN D’ABIDJAN
- PONT DE JACQUEVILLE SUR LA LAGUNE EBRIE
- COMPLEXE OLYMPIQUE D’ABIDJAN
- REHABILITATION DU PONT F.H. B
- MARCHES DE GROS DANS LES CHEFS LIEUX DE REGION
- ABATTOIR – MARCHES A BETAIL REGIONAUX
- MARCHES DANS LES VILLES MOYENNES
- GARES ROUTIERES INTERURBAINES REGIONALES
- ZONES INDUSTRIELLES DANS LES CHEFS LIEUX DE REGION
- CENTRES ARTISANAUX REGIONAUX
- PARKINGS PUBLICS A ABIDJAN
- PONT SUR LE BANDAMA
- AUTOROUTE YAMOUSSOKRO – BOUAKE
- VOIE EXPRESS ABIDJAN- GHANA
- RESEAUX DES PONTS BASCULES ROUTIERS
- TRANSPORTS COLLECTIFS DANS LES CHEFS LIEUX DE REGION
- USINES DE TRAITEMENT DES ORDURES MENAGERES A ABIDJAN
- COLLECTE ET TRAITEMENT DES ORDURES MENAGERES DANS LES CHEFS LIEUX DE REGION
- RESEAUX D’ADDUCTION D’EAU DANS LES CHEFS LIEUX DE REGION
- RESEAUX D’ASSAINISSEMENT DANS LES CHEFS LIEUX DE REGION
- INTERCONNEXION DES RESEAUX ELECTRIQUES COTE D’IVOIRE-MALI
- INTERCONNEXION DES RESEAUX ELECTRIQUES CÔTE D’IVOIRE – GUINEE
- CREATION D’UNIVERSITES PRIVEES
- CONSTRUCTION DE 12.000 LOGEMENTS A ABIDJAN
- CONSTRUCTION DE CITES POUR ELEVES ET ETUDIANTS
- AMENAGEMENT DE L’AEROPORT DE SAN PEDRO
- CONSTRUCTION D’UN CHEMIN DE FER SAN PEDRO – MONT NIMBA
- AGROPOLE D’ABIDJAN
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